Co-signé ou soutenu par une centaine d'intellectuels de renommée internationale, traduit, publié et discuté dans plusieurs pays (Allemagne, Brésil, Inde, Italie, etc.), le Manifeste convivialiste. Déclaration d'interdépendance (Bord de l'eau, 2013) définissait les principes d'un « bien vivre » universalisable (« pluriversalisable », plutôt), même sans croissance du PIB, dans lesquels se reconnaissent de plus en plus d'associations ou de réseaux de la société civique. À quelles conditions la partage de ces principes pourrait-il déboucher sur une offre politique susceptible de changer la donne, ici ou ailleurs ? Que faut-il maintenant préciser pour se donner une chance de conjurer les risques de catastrophe –économique, sociale, écologique, morale, etc. – qui se font toujours plus menaçants ? C'est en dialoguant avec des propagateurs du convivialisme, en France, au Brésil ou en Italie, Simon Borel, Francesco Fistetti, Frédéric Vandenberghe et Jean-François Vréan, que Alain Caillé, un des initiateurs du convivialisme, esquisse des réponses à ces questions.
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