Les philosophies de Schelling et Schopenhauer ont souvent été mises en relation, soit sur la base d’une influence supposée du premier sur le second (en relation avec le concept de Volonté), soit en raison d’une série de catégories simplificatrices (irrationalisme, pessimisme) qui n’ont pas contribué à la formulation d’un jugement fondé sur la connaissance et la compréhension des textes. L’objectif de cette étude est d’utiliser les notions de temps et d’éternité comme une première clé théorétique permettant d'éclairer les relations et les différences entre ces deux philosophies.
Cette analyse conduit à une reconsidération de la position historique de deux pensées qui, selon la thèse de l’auteur, doivent être toutes deux ramenées à leur contexte philosophique originaire, celui du post-kantisme, dans lequel il faut inclure toutes les pensées, idéalisme inclus, qui se sont développées à partir d’une réflexion sur les concepts mis à disposition par l’œuvre kantienne.
Cette analyse conduit à une reconsidération de la position historique de deux pensées qui, selon la thèse de l’auteur, doivent être toutes deux ramenées à leur contexte philosophique originaire, celui du post-kantisme, dans lequel il faut inclure toutes les pensées, idéalisme inclus, qui se sont développées à partir d’une réflexion sur les concepts mis à disposition par l’œuvre kantienne.
livre cher mais intéressant et savant pour qui s'intéresse à ces deux auteurs
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