L’urgence écologique
L’écologie a été et reste aujourd’hui un ensemble aux appellations, dimensions et préoccupations multiples. Le vocabulaire en témoigne : décroissance, écosocialisme, croissance verte ou développement humain durable, etc. Et, sous l’influence d’une partie du mouvement altermondialiste, le buen vivir. Tous ces termes ne sont cependant pas équivalents et donnent lieu à des controverses et constituent autant de manières, souvent contradictoires, parfois complémentaires, de penser « l’urgence écologique ». Pourtant, tous mettent au centre de leur activité la préoccupation pour l’écologie et ses diverses déclinaisons : réchauffement climatique, épuisement des énergies fossiles, risque nucléaire, stérilisation des sols, pollutions et impacts sur la santé, réduction de la biodiversité, accroissement des inégalités, etc. Ces divergences d’analyse et les différentes solutions préconisées relèvent-elles de querelles de chapelle, comme le mouvement écologiste en a connu beaucoup ? Ou tracent-elles des modèles différents pour la « transition écologique » ? Comment s’organise l’articulation entre le social et l’écologique ?
Grèce
Comment la presse a-t-elle rendu compte des événements qui ont marqué les relations de la Grèce avec ses créanciers et avec les institutions européennes depuis la victoire électorale de Syriza en janvier dernier ? À partir d’une étude de ce qui a été publié dans quelques journaux français et étrangers, la question vient à l’esprit : Qu’est-ce que lire les journaux veut dire ? Comment s’organise le récit médiatique ? Qu’est-ce qui a conduit dans le cas de la Grèce à privilégier le lexique de la polémologie et à reprendre les catégories les plus éculées (les fourmis du Nord et les cigales du Sud, etc.)
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