On ne compte plus les critiques de l’ère numérique. Mais elles ont en commun de ne pas voir la nouveauté d’un monde où, pour la première fois, le capital et la technologie se confondent absolument, obéissant à la même croissance exponentielle, avec la même visée de tout réduire à un objet de calcul.
Annie Le Brun, venue du surréalisme, a publié des poèmes et des essais, dont Les Châteaux de la subversion (1982) et Soudain, un bloc d’abîme, Sade (1986) mais aussi Du trop de réalité (Stock, 2000) et Ce qui n’a pas de prix (Stock, 2018), où elle aborde autant la question sensible que la critique sociale.
Juri Armanda, après des études de philosophie et d’histoire de l’art, mène une activité indépendante (théorique et pratique) dans les domaines des arts visuels, du design et de l’architecture. Il travaille et vit à Vienne.
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