De Nietzsche à la multitude
Été et automne 2008
Quand le soleil de midi emmurait les troupeaux humains dans les demeures humides, ils [Nietzsche et la multitude] se retrouvaient sur le haut plateau et marchaient sans jamais céder à la tentation de l’ombre. Pénétrés des dons du soleil, ils se comblaient de largesses que leur esprit infatigable extrayait de leur solitude. Des mots isolés, des bribes de conversation, des regards, des étreintes, du silence, surtout du silence.
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