Matériologiques - Juin 2021
Maintenir et développer la biodiversité des milieux vivants, assurer la qualité de vie et la durabilité des socio-écosystèmes imposent une réflexion sur l’universel. Mais cela engage une nouvelle conception de l’universel décentrée de l’humain et refondée dans les milieux vivants (qui incluent l’espèce humaine). Il s’agit de définir dans une perspective universaliste la notion de milieu vivant à partir des trois notions individu/espèce/milieu et de la notion de socio-écosystème qui comporte la cohabitation de plusieurs espèces vivantes et donc de plusieurs milieux relatifs aux différentes espèces qui y sont présentes, y compris les humains.
Avant-propos (page 3)
Introduction (page 5) La philosophie face au développement durable
Chapitre 1 (page 19) De l’universel humain à l’universel des milieux vivants
Chapitre 2 (page 33) La difficile cohabitation dans un milieu vivant
Chapitre 3 (page 43) Les milieux imposés aux animaux par les humains
Chapitre 4 (page 55) Les cages de nos représentations des animaux
Chapitre 5 (page 63) Le mythe de la loi du plus fort dans la nature
Chapitre 6 (page 77) Tous parents, tous différents
Chapitre 7 (page 89) Être aux aguets des milieux vivants
Chapitre 8 (page 103) L’humain fait le chien, le chien fait l’humain
Chapitre 9 (page 117) Les projections imaginaires sur les oiseaux de nuit
Chapitre 10 (page 127) Penser en pananimal : anatomie d’un pananimal
Conclusion (page 141)
Bibliographie (page 149)
Index (page 153)
acheter ce livre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire