Ce qui apparaît dans ce volume, ce n’est pas seulement la personne comme sujet éthique voire religieux, mais les personnes en relation, dans le contexte d’une interrogation portant sur les leurs modes multiformes d’interaction à la croisée de leur signification épistémique, grammaticale, ontologie et théologiques. Ces quatre termes sont là pour désigner l’espace d’une réflexion croisée autour du sens relationnel des personnes. Qu’est-ce qu’une « première personne »? Est-ce seulement un Je, un moi ? Est-ce une entité grammaticale ou ontologique ? Qu’est-ce qu’une méthode en première personne ? Qu’en est-il de la singularité du vécu en jeu, de son irréductibilité ? Quels en sont les critères ?
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