Dans cet éclairant essai, Rosamond Richardson explore les relations entre la foi, la chair et l’imagerie de la crucifixion dans les tableaux de Francis Bacon et le retable d’Issenheim de Matthias Grünewald.
Les deux artistes savaient que la vérité peut être transformative autant que douloureuse. Le réalisme de Grünewald s’adressait aux gens frappés du feu de Saint-Antoine, humbles et repoussants : Et c’est grâce à Ses plaies que nous sommes guéris. Bacon parlait en ces termes de l’horreur mise en scène par Grünewald : « C’est une horreur magnifique, dans le sens où elle est vivifiante. »
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