« Discourir avec l’autre » : doit-on interroger la possibilité de cette proposition, comme l’indique le point d’interrogation du titre, ou s’agit-il de l’introduire comme une nécessité pour des sciences ou des approches universitaires qui idéalement devraient s’enrichir ou pour le moins ne pas s’ignorer dans les domaines communs ou connexes ? ou bien est-il question ici de simplement noter une évidence, celle logique qui voudrait qu’on ne saurait discourir tout seul et celle factuelle notant que la sémiotique a toujours discuté ou peut-être plutôt monologué avec les autres sciences ? ou encore s’agit-il de questionner ces références ou ces usages des autres disciplines au sein de la sémiotique, d’en interroger les termes et les modalités ?
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