Reconnue depuis longtemps de ses proches (Nancy, Derrida, Kofman, Badiou, Bailly, Ronell, parmi tant d’autres), peu connue de la scène philosophique actuelle (heureusement peut-être), inconnue encore à tant d’égards, l’œuvre de Philippe Lacoue-Labarthe est encore loin devant nous. Avenir d’une pensée aux prises avec la question du mythe dans sa modernité même. C’est-à-dire la question, sans cesse renouvelée selon l’injonction d’un il faut tout repenser, de la représentation : du théâtre à la musique, de la mythologie à la philosophie, de la littérature à la psychanalyse, de la politique à l’histoire.
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