Trois raisons de parler de Jacques Derrida :
1. Derrida le Magnifique – Les idiots et les imbéciles de l’anti-déconstruction n’y peuvent rien, c’est ainsi, Jacques Derrida, mort en 2004, est bel et bien notre dernier grand philosophe vivant.
2. Derrida le Bon homme – La déconstruction méritait un tel essai de ma petite part, le lecteur s’amusera au déconstructif qui y est en vigueur, qui y est de rigueur, Derrida s’en sortira vivant et bon homme.
3. Derrida le Poète – Cet essai enfin fait le pari plutôt dramatique qu’il y a à connaître tous les livres de philosophie de Derrida par les poètes, d’abord par les poètes. »
Alain Jugnon, avec son style provocant et stimulant, se lance dans l’évocation d’un Jacques Derrida au bord de l’écriture poétique et part en guerre contre l’idée répandue dans cette « époque triste et cynique » que la déconstruction, ou perte des valeurs, est le mal absolu.
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